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Titre du Post:
Noms du tableau et de son peintre
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Poeme: arabe ou portugais, avec traduction et/ou autres informations.
Peinture: chaque image illustre le poème publié et cache un link conduisant à plus d'informations sur le tableau et /ou son peintre.

Raison d'être

"Il y a tant de belles choses à dire et à écrire sur la vie qu'il est absolument insensé de perdre son temps à se lamenter sur les mauvaises" François Gervais

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À ceux qui ont le privilège d'être polyglottes et qui s'identifient dans la philosofie de ce blog, je lance un appel de collaboration pour traduire (pour le français et/ou portugais et/ou arabe) les superbes poèmes qui seront publiés. Tous les essais seront lus, séléctionnés et disponibilisés sur leurs posts correspondents.

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segunda-feira, 28 de janeiro de 2008

(نزار القباني- القرار(1

Dès l’âge de 16 ans, Nizar Kabbani commence à écrire des poèmes, largement consacrés à des thèmes amoureux. En 1945, il obtient le diplôme de la faculté de droit de l’Université syrienne à Damas. Il entre comme attaché au ministère Syrien des affaires étrangères et, ayant opté pour la carrière diplomatique, occupe divers postes de chargé d'affaires et de conseiller culturel dans les ambassades syriennes au Caire, à Ankara, à Madrid, à Pékin et à Beyrouth jusqu’à sa démission en 1966. Après la défaite arabe face à Israël en 1967, il crée à Londres la maison d'édition « Nizar Khabbani » et devient un puissant et éloquent porte-parole de la cause arabe. Installé à Beyrouth au milieu des années soixante, il disait ressentir « une immense tristesse en voyant tout le mal qu'on fait » à cette ville. Dans une interview au quotidien libanais « L'Orient le Jour » en 1977, à l'occasion de la parution de « A Beyrouth la femme, avec mon amour », il indiquait: « Je vis à Beyrouth depuis dix ans. Elle est pour moi la mère, l'amie et l'aimée ». Son œuvre, louée par des générations d'Arabes pour ses vers sensuels et romantiques, ne s'est pas limitée aux recueils de poésie. Il a apporté des contributions régulières au journal de langue arabe Al Hayat, et ses textes ont été mis en musique et chantés par Mohamed Abdelwahab, Najib Serraj ou Abdel Halim Hafez (Qariat el fingan, Rissala min tahtilmaa), ils ont également été chantés par des chanteuses Libanaises, Syriennes ou Égyptiennes comme Feyrouz, Oum Kalsoum et d’autres, ce qui a contribué à populariser son travail. Il est le poète arabe contemporain le plus populaire et le plus lu. Il fut surnommé le poète de la femme et de la Oumma suite au tournant que connaîtra sa poésie après les défaites arabes successives face aux Israéliens. Il sera pratiquement le seul poète à ne pas chanter les louanges des dirigeants arabes et à les tenir pour cause de ces défaites. Ce présent poème a été chanté par le chanteur libanais Assi Alhilani.
Publié par baki

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