Nizar avait certe mis la femme sur un piedestal mais avait surtout, en mon sens, libéré l'homme du poids socio-culturel qui lui reniait le droit d'aimer passionemment et d'assumer ses émotions. Nizar était le poète de la femme mais aussi "le libérateur de l'homme".
Publié par Baki
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